Questions fréquentes prospective
Quelle formation pour devenir prospectiviste ?
Sciences Po, ingénieur, économie idéaux. Master prospective CNAM recommandé. Formations courtes méthodes. Multidisciplinarité essentielle. Curiosité intellectuelle primordiale.
La prospective est-elle une science exacte ?
Non, approche exploratoire. Objectif éclairer décisions, pas prédire. Scénarios multiples, probabilités. Rigueur méthodologique importante. Validation par utilité décisionnelle.
Public ou privé, que choisir ?
Public : stabilité, impact sociétal, missions long terme. Privé : salaires +30-50%, rythme, innovation. Think tanks compromis intéressant.
Comment développer son expertise ?
Spécialisation sectorielle/thématique. Publications régulières. Interventions conférences. Réseau experts. Veille permanente. Formation continue méthodologique.
L'IA va-t-elle remplacer les prospectivistes ?
Complémentaire plutôt. IA pour analyse données, patterns. Humain pour créativité, sens, jugement. Synthèse, scénarios, recommandations restent humaines.
Peut-on exercer en indépendant ?
Oui après expérience. Expertise reconnue nécessaire. Réseau clients essentiel. Missions ponctuelles, formations. 800-2000€/jour selon notoriété.
Quelles spécialisations sont porteuses ?
Climat/environnement très demandé. Géopolitique valorisé. Technologies émergentes. Territoires/villes. Santé post-COVID. Travail/compétences futures.
Comment mesurer l'impact de son travail ?
Influence décisions stratégiques. Reprises médias, citations. Adoption recommandations. Évolution débats publics. Satisfaction commanditaires. ROI difficile à quantifier.
Le métier est-il stressant ?
Pression intellectuelle importante. Enjeux décisionnels. Incertitude inhérente. Deadlines projets. Mais autonomie, sens, créativité compensent.
Quelles évolutions de carrière ?
Expert technique vers management. Conseil indépendant. Enseignement/recherche. Médias/communication. Direction stratégique. Écriture/conférences. International possible.