Questions fréquentes métier réparateur électroménager
Quelle formation pour devenir réparateur ?
CAP/BEP électrotechnique ou Bac Pro SEN recommandés. Formation marques indispensable pour agrément. Stages pratiques essentiels. Formation continue obligatoire nouvelles technologies.
Peut-on vivre correctement en indépendant ?
Revenus 2500-4500€ nets possibles. Investissement 10-25k€ départ. Rentabilité 12-18 mois. Charges 30-40% CA. Spécialisation et qualité service différenciantes.
Le bonus réparation change-t-il la donne ?
Oui, 15-45€ aide État par réparation. Augmente demande +30%. Nécessite label QualiRépar. Démarches simplifiées. Argument commercial fort. Fidélise clientèle sensible prix.
Comment obtenir les pièces détachées ?
Grossistes spécialisés type Aswo, Direct Repair. Comptes pro marques si agréé. Sites internet pièces. Stock tournant 3-5k€ nécessaire. Négocier remises volume.
Faut-il se spécialiser ou rester généraliste ?
Commencer généraliste, spécialiser progressivement. Haut gamme ou professionnel rentables. Formation marques valorisante. Mix grand public + niche optimal. Éviter dispersion excessive.
La concurrence des bricoleurs est-elle forte ?
Oui sur petit électroménager basique. Différenciation par expertise, garantie, conseil. Appareils complexes protégés. Labels qualité rassurent. Service professionnel prime.
Les appareils sont-ils de moins en moins réparables ?
Tendance s'inverse avec lois anti-obsolescence. Indice réparabilité guide achats. Pièces 10 ans obligatoires. Conception évolue positivement. Formation adaptation nécessaire.
Comment gérer les devis refusés ?
Facturer diagnostic si déplacement (30-50€). Devis détaillé conservé. Relance si non réparé. Photos état appareil. 30-40% devis refusés normal. Optimiser présélection téléphone.
Vaut-il mieux un atelier ou intervenir à domicile ?
Atelier pour grosses réparations, stockage. Domicile pour gros électroménager, urgences. Mixte optimal : atelier + véhicule équipé. Dépend zone géographique et clientèle.
Le métier a-t-il de l'avenir ?
Oui, économie circulaire en croissance. Réglementation favorable. Conscience écologique monte. Prix neufs augmentent. Réparation valorisée socialement. Évolution vers services + conseil.