Questions fréquentes expert serverless
Faut-il maîtriser tous les cloud providers ?
Expertise approfondie sur un (AWS leader), connaissance des autres recommandée. Multi-cloud valorisé +30-40% mais expertise unique AWS/Azure suffit pour excellents salaires.
Quelle expérience pour devenir expert serverless ?
2-3 ans développement cloud minimum. Migration projets legacy accélère apprentissage. Certifications cloud essentielles. Side projects serverless recommandés.
Les certifications sont-elles indispensables ?
Fortement recommandées. AWS Solutions Architect ou Developer Associate minimum. Spécialisations serverless différencient. ROI certification ~3-6 mois.
Serverless vs Kubernetes : que choisir ?
Complémentaires plus que concurrents. Serverless pour event-driven, APIs. K8s pour workloads complexes. Maîtrise des deux maximise opportunités.
Comment justifier les coûts serverless ?
TCO analysis incluant ops reduction. Focus scalabilité automatique. Time-to-market accéléré. FinOps expertise critique pour crédibilité.
Quels langages privilégier ?
TypeScript/Node.js dominants (60% projets). Python pour data/ML. Go pour performance. Plus important : patterns et architectures que langage.
Le serverless remplace-t-il les devs backend ?
Non, transforme le rôle. Focus sur business logic vs infrastructure. Architectes serverless très demandés. Évolution naturelle backend engineers.
Comment gérer le vendor lock-in ?
Abstraction layers (Serverless Framework). Multi-cloud strategies. Containers fallback. Documentation architecture decisions. Exit strategies planifiées.
Quelles sont les limites du serverless ?
Cold starts (mitigés 2025). Vendor limits. Debugging complexe. Coûts imprévisibles. Long-running tasks. Stateful applications challenges.
Quel avenir pour le serverless ?
Croissance continue. Edge computing explosion. WebAssembly runtime. AI/ML natif. Sustainability focus. Adoption enterprise accélérée.